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Mois : avril 2020

29/04/2020 : Les chroniques de Mertvecgorod…

« Chroniques de Mertvecgorod » de Christophe Siébert. Je ne connais pas personnellement l’auteur (ce qui aurait pu se faire si il y avait eu une édition 2020 du « Salon des voix mortes » à Clermont-Ferrant où j’avais prévu de me rendre avec le team Black-Out. Une autre fois peut-être ?), mais c’est quelqu’un qui a désormais une notoriété certaine dans son domaine d’écriture, il est d’ailleurs publié Au diable Vauvert ce qui est un gage, s’il en était besoin, de qualité.

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27/04/2020 : Marc Bruimaud n’est pas un Mistyficateur…

C’est même un putain de bon écrivain (Guy Misty est un de ses pseudos, je le précise pour expliquer le titre de ce post). Il faut dire qu’il a toutes les qualités pour : il n’aime pas les gens, il vit reclus dans son bunker, et il possède une culture littéraire, musicale et cinématographique redoutable. Sans parler de sa collection de films X, probablement une des plus fournies de la ville… Bien sûr, il n’aime pas la nature et redoute par dessus tout les petites bestioles qui vrombissent dans l’air. J’ai fait sa connaissance il y a 2 ou 3 ans (merci Alexandre) dans le cadre du boulot. Comme quoi il ne faut jamais désespérer de rien… Je me souviens d’un type massif qui m’observait en coin, se demandant manifestement quel genre de connard je pouvais être (il classifie tout, même les connards). De fil en aiguille, et toujours grâce à Alexandre qui faisait en quelque sorte l’interface entre nous (assez logique s’agissant d’un informaticien), il a appris que j’écrivais et m’a contacté un jour pour voir un peu à quoi ça ressemblait. Je vous passe les détails, d’autant que vous devinez la suite : il m’a présenté à Fabrice Garcia-Carpintero, le taulier des éditions Black-Out, ça a matché, et « Urbain et malpoli » est sorti un an plus tard.

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21/04/2020 : Heptanes Fraxion, poète obscur…

Je ne m’en suis jamais caché : j’ai toujours été hermétique à la poésie. Ce n’est pas faute d’en avoir lu, mais rien à faire, impossible d’entrer dans le monde des poètes, et les efforts de Gérard Frugier (poète Rock’n roll bien connu dans le secteur) sont restés vains ! Sorry Gégé.  Un seul échappait jusque là à mon terrible handicap : Bukowski, Hank pour les amis, auquel je suis  addict depuis fort longtemps : la lecture de « L’amour est un chien de l’enfer » m’avait fait toucher du doigt une forme de poésie qui me parlait (enfin !). Et puis, il y a eu Heptanes Fraxion, poète toulousain, dont j’ai fait la connaissance IRL l’été dernier en compagnie de Marc Bruimaud :

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14/04/2020 : des cons finement élevés…

Comme beaucoup d’entre vous, j’ai regardé hier soir not’ bon président, un verre de Chablis à la main (avec la pub que je leurs fait depuis quelques temps, j’espère recevoir prochainement une caisse de mon vin blanc préféré !). Je n’en attendais pas grand chose et je n’ai pas été déçu. Quand même, j’ai du mal à comprendre les tenants et aboutissants de cette histoire… Une phrase m’a particulièrement choqué : « généraliser les tests n’aurait aucun sens« . Pas vous ? Je croyais naïvement que tester tout le monde permettrait de laisser sortir tous ceux qui ont déjà eu cette cochonnerie et sont donc, a priori, immunisés. Et détecter les malades a-symptomatiques (je ne sais pas si ça s’écrit comme ça et j’ai la flemme de vérifier) pour les confiner afin qu’ils ne propagent pas le truc. Et filer des masques et des gants à ceux qui n’entrent dans aucune des deux catégories précitées afin de les protéger…

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07/04/2020 : pourquoi faire un blog ?

En voilà une bonne question… Le fait est que nous vivons dans une époque moderne où tout va très vite. D’ailleurs, il faut bien reconnaître que les réseaux sociaux nous ont conduit à acquérir de nouveaux réflexes : je vois un post, je lis un peu et je clique si j’aime. Et hop ! Au suivant. On consomme les posts FB, Twitter and Co comme des chips sorties d’un paquet. Miam / clic / miam / clic / miam / clic. And so on… Bon, je ne critique pas car j’ai tendance à faire pareil. C’est comme dans le métro où tout le monde court dans les couloirs, tu te mets rapidement à trotter même si tu n’es pas pressé. Les réseaux sociaux nous ont clairement rendu boulimiques de tout et de n’importe quoi. Et je suis, comme tout le monde, embringué dans cette spirale infernale. Merde.

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06/04/2020 : Fanzine Violences

Violences existe depuis 2017. Ce fanzine collectif, édité par Luna Beretta (Luna Beretski) allie textes en prose, poésie et illustrations et regroupe une trentaine d’artistes par numéro traitant de la violence sous toutes ses formes.

Le prochain numéro sortira bientôt (enfin, si le coronavirus le veut bien) et, poussé par quelque diable, j’ai proposé un texte à Luna. J’ai en effet écrit l’été dernier une nouvelle (« 150 kilos de bonheur ») qui est assez différente de ce que je fais habituellement, c’est d’ailleurs en dehors de mon projet littéraire (dont vous trouverez la description dans la page « à propos » – colonne de gauche). J’ai trouvé que l’esprit de ce texte se rapprochait un peu de la ligne éditoriale de Violences, même si la violence, en ce qui me concerne, est plus suggérée que montrée. Que voulez-vous, les flots de sang dégorgeant d’une plaie béante ne sont pas trop mon truc… Pour être honnête deux minutes, c’est surtout parce que je ne sais pas faire !

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05/04/2020 : La clarté sombre des réverbères

Les éditions Jacques Flament ont fait récemment un appel à contribution, afin de « nourrir » le numéro 3 de la revue « La clarté sombre des réverbères ».   ( voir ICI ).

Ce numéro sera consacré à la période de confinement actuelle, vaste sujet sur lequel tout le monde a sans doute quelque chose à dire. Par contre, il faut éviter d’être trop prolixe étant donné que les textes sont limités en taille (2500 caractères max, espaces compris).

Raconter une histoire complète en si peu de mots est, pour moi, assez compliqué, et c’est sans doute pour ça que j’ai eu envie de me prêter à l’exercice. J’ai donc écrit un texte dans l’après midi (« Je sors peu » en est le titre), et je l’ai soumis à l’éditeur dans la foulée.

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