C’est même un putain de bon écrivain (Guy Misty est un de ses pseudos, je le précise pour expliquer le titre de ce post). Il faut dire qu’il a toutes les qualités pour : il n’aime pas les gens, il vit reclus dans son bunker, et il possède une culture littéraire, musicale et cinématographique redoutable. Sans parler de sa collection de films X, probablement une des plus fournies de la ville… Bien sûr, il n’aime pas la nature et redoute par dessus tout les petites bestioles qui vrombissent dans l’air. J’ai fait sa connaissance il y a 2 ou 3 ans (merci Alexandre) dans le cadre du boulot. Comme quoi il ne faut jamais désespérer de rien… Je me souviens d’un type massif qui m’observait en coin, se demandant manifestement quel genre de connard je pouvais être (il classifie tout, même les connards). De fil en aiguille, et toujours grâce à Alexandre qui faisait en quelque sorte l’interface entre nous (assez logique s’agissant d’un informaticien), il a appris que j’écrivais et m’a contacté un jour pour voir un peu à quoi ça ressemblait. Je vous passe les détails, d’autant que vous devinez la suite : il m’a présenté à Fabrice Garcia-Carpintero, le taulier des éditions Black-Out, ça a matché, et « Urbain et malpoli » est sorti un an plus tard.